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27/12/2011

Des nouvelles d'entre-deux-fêtes

390711_2939086398989_1316031401_3211335_1366885430_n.jpgJe souhaitais vous écrire entre ces deux fêtes de fin d’année.
Je suis content car me voilà bien rétabli de ma fracture au genou.

Pour ceux qui me connaissent personnellement, ils savent que j’ai, de naissance, une maladie des articulations. La fracture n’avait aucun rapport avec elle mais moi et les médecins craignaient, à cause d’elle, des complications. Elles ont été évitées.

Je reviens au sujet de ce blog qui est mon amour de l’écriture et de la philosophie. En raison de ma convalescence, j’ai beaucoup écrit. J’ai poursuivi mon essai sur L’anarque, qui dépasse à présent les cent vingt pages. Je pense que j’y ai développé des sujets que je n’aurais point développés si je n’avais pas été contraint de rester chez moi.

Ces dix derniers jours, j’ai abordé les thèmes de l’histoire et de l’historien, la figure du rebelle à différencier de celle de l’anarchiste et de l’anarque. Je souligne aussi mes différences de point de vue avec Ernst Jünger qui dressa une figure du rebelle dès 1929 donc bien avant celle de « son » anarque.
J’aborde le cas du solipsiste à travers l’idée que peut avoir l’anarque de la réalité universelle.
Approfondissant également mon idée de perfectibilité, je l’ai comparée à celle de Jean-Jacques Rousseau que j’évoque également dans mon essai.

Si je continue certains paragraphes, veux construire de nouvelles parties dont une sur la propriété, je développe surtout de nouveaux paragraphes à l’intérieur de parties existantes comme on allume un feu au milieu d’une forêt.

Bien sûr, j’espérais un rétablissement physique le plus rapide. Or, l’anarque voulant son bonheur dans l’immédiat, j’ai su profiter de ma convalescence pour entre autres écrire. J’ai voulu ne pas rendre cette période triste ou trop difficile. Le bonheur à tout prix... En espérant que vous ayez passé de bonnes fêtes de Noël, il en reste une néanmoins : celle du jour de l'an !

J'espère que vous parvenez au bonheur malgré tout et contre tous les marasmes ambiants.
Je puis vous dire à présent : à l’année prochaine. Et merci de votre fidélité. Louison-Antoine

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