28/11/2011
Un cigarillo sous le libertango
La nuit, puisqu'elle est quasiment celle d'hiver, est tombée depuis quelques heures.
Il est bientôt celle d'aller rejoindre Morphée.
Elle est celle que j'ai choisie. Comme très souvent.
Mais avant, j'ai envie de fumer un cigarillo.
Je sors le petit cendrier d'argent. Je le pose sur mon bureau.
J'éclaire le cigarillo. Je ne pense à rien.
J'écoute, en même temps, le libertango.
Une méditation s'installe entre cigarillo et libertango.
Libertango, quel joli nom... Le tango de la liberté.
C'est sous le signe de la liberté que j'aime que ma vie soit rythmée.
Et le tango invite à prendre le temps de vivre.
Prendre le temps de vivre libre, c'est confectionner son bonheur.
A cet instant, il est présent, entre cigarillo et libertango.
C'est ce dernier qui s'achève en premier.
Le bonheur ne s'échappe pas pour autant, la liberté ne bat pas en retraite.
C'est bien là l'essentiel. Même après la fin du cigarillo, même après avoir rejoint mon lit... Louison-Antoine
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